Un Lieu Incertain . . .: 2021

jeudi 30 décembre 2021

samedi 25 décembre 2021

vendredi 24 décembre 2021

jeudi 23 décembre 2021

mercredi 22 décembre 2021

lundi 15 novembre 2021

jeudi 11 novembre 2021

samedi 16 octobre 2021

dimanche 19 septembre 2021

samedi 4 septembre 2021

dimanche 22 août 2021

mercredi 14 juillet 2021

dimanche 6 juin 2021

lundi 31 mai 2021

lundi 3 mai 2021

vendredi 2 avril 2021

samedi 20 mars 2021

lundi 15 mars 2021

- Comment l'errant se conduit-il ?

- Il erre d'un lieu à l'autre, d'une rue à la suivante, d'une personne à l'autre. Il navigue au sein de l'espèce humaine. Une autre chose qui frappe aussi, c'est le contact uniforme qu'il a avec tout le monde, et tous les lieux qu'il traverse. C'est comme s'il ne connaissait qu'un homme à travers chacun de ceux qu'il côtoie, le même homme, le même lieu aussi, et comme si chacun, homme ou lieu, lui procurait la même impression à travers son errance. C'est comme s'il ne tenait plus compte des différences d'âge, de fonction, de niveau social ou de sexe, de pays, de paysage...

dimanche 14 mars 2021

l'odeur de la nuit était celle du jasmin

vendredi 12 mars 2021

dimanche 21 février 2021

samedi 20 février 2021

20 février, 50

My heart still beats. Film Ilford FP3 expired 01/1971.

vendredi 19 février 2021

Quinze minutes la nuit au rythme de la respiration

Sujette à une crise d'asthme, Alix se couche dans la nuit face à une allée de cyprès, flammes noires et irrégulières qui bordent le chemin de la Tuilerie de Saint-Félix. Son appareil est posé sur sa poitrine, secoué par sa respiration haletante. Elle est nue. [...]
C'est un paysage façonné par le souffle, entièrement bouleversé par la perception. Il n'y a plus d’instantané, l'image n'est pas figée par sa brièveté. "Quinze minutes la nuit au rythme de la respiration" est une photographie de durée où le monde est, d'un même mouvement, senti et vu.

samedi 13 février 2021

respiration

Je travaille avec une faible profondeur de champ et à faible vitesse (au trentième de seconde en général), si bien que je ne dois ni respirer ni bouger, et le moindre bougé est visible. La moindre émotion. Ces artifices, ces "secrets" de prise de vue font que nous sommes plus près de l'émotion, du sensible, puisqu'une simple respiration de ma part peut modifier l'image...