Marcher la nuit dans le chaos des rues silencieuses de Tbilisi invite à se perdre et à aimer.
Princesse d'un autre siècle, drapée dans les voiles du passé et attentive à rester jeune, la ville est une énigme, un paradoxe vivant. Ses rues ne mènent jamais là où vous l'attendiez, mais révèlent à chaque détour une surprise : un film dans une cour intérieure, un roman au coin d'une rue, une pièce de théâtre dans un bar. La ville danse autour de vous et déroule une mosaïque de vieux bâtiments, églises, mosquées, synagogues, maisons aux frêles balcons de bois et d'acier. Elle est inconnue et familière à la fois. Est ce la méditerranée, l'europe centrale ou même la perse ? Nul ne sait.
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